Hôtesse de téléphone rose transsexuelle, j’ai des envie de sexe quasiment inépuisables. Tout ce que je peux faire, c’est de trouver de temps en temps un partenaire pour la baise en direct , histoire d’assouvir pendant un cours instant mes fantasmes et mon énorme gourmandise sexuelle. Mais cette envie revient toujours très vite u galop, et me voilà esclave de ce cycle infernal érotique qui ne s’arrête que lorsque je suis hors de chez moi pour faire une petite course ou quand je fais l’amour avec mon mec souvent absent. Je m’appelle Léa, j’ai 29 ans et je découvre à peine cet univers que je n’imaginais jamais rejoindre il y a encore 3 mois. Mon mec est un jeune geek du digital. C’est lui qui m’a demandé de m’inscrire sur un site de téléphone rose pour faire l’amour virtuellement au lieu de coucher avec toute la France. Ce sont ses mots : « coucher avec toute la France ».
En voilà encore un qui pense que baiser au telrose ne vaut pas le coup
Après, je peux comprendre son inquiétude, j’enchainais un peu trop les rencontres coquines avec des mecs vicieux que ça devenait difficile à supporter pour lui. Mais comme il sait que je suis une vraie nympho, il ne pouvait pas se contenter juste de m’interdire d’avoir les plans culs sans combler ce vide. Après une longue discussion, il m’a trouvé ce site, et m’a demandé de m’inscrire. « Je ne veux pas te voir sur un site de rencontre coquine, ou un site de webcam, un site de téléphone rose c’est largement suffisant » me lança-t-il. Il ne croyait pas si bien dire. Je sais que son but c’était non seulement que je ne couche plus en vrai, mais que j’arrête aussi de me montrer à poil. Au téléphone rose, personne me voit, personne voit mes gros seins et ma grosse bite, personne n’admire mon corps de femme à bite. Il avait une vision minimaliste de cette pratique, qui pour lui consistait à faire semblant de gémir et jouir au téléphone.
J’ai fini par adorer baiser sur mon telrose trans
Mais avec le temps, j’ai fini par découvrir un monde aux multiples possibilités sexuelles, que la voix et les mots peuvent produire des effets incroyables, que même en baisant en direct au téléphone rose, surtout quand on est une salope transsexuelle bien foutue comme moi, on peut prendre et donner un max de plaisir. C’est ce que je fais presque tous les jours le soir depuis mon téléphone rose trans. Souvent quand mon mec n’est pas là, c’est un barman dans une boite de nuit très connue de Lyon, il bosse le soir, ça m’arrange. Mais quand il me voit gémir et me doigter l’anus devant lui, et sachant que je le fais pour un autre mec, ça le rend un peu jaloux.